Les manifestations londoniennes d'hier et le déploiement invraisemblable de forces de police prévu aujourd'hui à Paris pour "protéger" la flamme ("monte flamme légère, feu de camp si chaud si bon..." pour les anciens) me rappellent furieusement un très joli dessin de Siné en mai 68.
On voyait deux CRS matraqueurs tirant un manifestant par les cheveux ; l'un des deux disait : "Chef, il criait Liberté, alors on a cogné !"
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